Rome, 5 août (Adnkronos) – « Hier, nous avons eu un nouvel exemple de l'industrie du mensonge qui continue de mentir aux habitants des Marches. Cette industrie, avec les Zes, a validé la crise des Marches provoquée par Acquaroli par une initiative partisane, vendue comme institutionnelle et financée par les habitants des Marches. » C'est ce qu'a déclaré Matteo Ricci, député européen du Parti démocrate et candidat à la présidence des Marches.
« Pour comprendre la fiction qu'ils tentent de vendre aux habitants des Marches, il suffit de constater qu'il ne s'agit pas d'un décret-loi, mais d'un projet de loi. Il n'entrera donc pas en vigueur immédiatement, mais devra être discuté, et interviendra donc après les élections régionales », déclare Ricci. « L'autre fiction, c'est qu'aucun euro n'est prévu, et que si l'on prévoit des allégements fiscaux, il faut allouer des ressources pour les couvrir, ce qui n'est pas le cas. Ils ne peuvent pas continuer à duper les habitants des Marches uniquement à des fins de propagande. » Il poursuit. « Ensuite, il est question de "stabilisation des comptes de l'État", donc cela ne devrait même pas avoir d'impact sur le budget de l'État, et c'est la troisième fiction. » Il conclut. « Ne pas reconnaître cette certification de crise est irresponsable. Nous aiderons les habitants des Marches à échapper à cette médiocrité et à cette fiction d'extrême droite. Plutôt qu'une Zone Économique Spéciale, il est plus approprié de l'appeler une Zone Électorale Spéciale, à laquelle nous opposons une Brigade Royale Spéciale. »